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Je m’engage au sein du « Midnight Sion » par plaisir. J’aime vraiment y être, je me sens à l’aise avec les jeunes dans ce contexte-là. C’était aussi une façon de faire une transition avec mon implication dans le tissu associatif sédunois qui s’est arrêtée avec la vie professionnelle. Le samedi, je ferme le garage et je vais au « Midnight Sion », ça me permet de couper, de me vider la tête.

La comparaison avec mon travail chez Harley Davidson ? Ce sont deux activités très différentes mais on y retrouve des points communs, comme la gestion d’équipe, l’importance de l’image que nous renvoyons et la qualité de ce que l’on propose. Chez Harley, on doit par contre tenir compte de réalités économiques comme les questions de productivité, de rentabilité. Au « Midnight Sion », nous pouvons accompagner les jeunes avec plus de place pour l’erreur. On y travaille pour créer de l’accueil, du partage, une ambiance chaleureuse, quelque chose de bien pour les jeunes, pour les accompagner vers la vie professionnelle. La passion reste le point commun de ces deux activités.